histoire de ma maison

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Histoire de ma rue.

Domaine public, national, départemental ou communal. Domaine privé.

Commence : .

Aboutit : .

Long. : m.

larg. : m.

Nom.  Titre de propriété, document administratif et judiciaire. Le toponyme de la voie peut servir à comprendre son utilisation.

Origine.

Domaine public, voie plus ancienne. Domaine privé, lotissement, voie plus récente.

Cette origine explique le plus souvent la largeur, variable ou constante, et la longueur de la voie.

Alignement de la voie. Emprise sur le bâti et sur le non bâti. Procédure administrative, maire, préfet, ministre.

Situation.

Plan terrier, cadastre,

Cadastre Napoléon. Section correspondant à la feuille.

Cadastre rénové. Section correspondant à la feuille.

Fonction.

Hiérarchie.

Tertiaire, la voie peut être fermée à toute circulation, sans déviation. Exemple : allée, impasse, voie interne à un lotissement.

Secondaire, la voie peut être fermée à la double circulation ou non, avec ou sans déviation. Exemple : chemin départemental.

Primaire, la voie est fermée à la double circulation, avec déviation. Exemple : route d’intérêt national, international

Monuments.

Histoire de ma maison

 Histoire de ma maison.

Situation du bien.

Adresse. Référence cadastrale, si nécessaire, en cas d’habitat groupé.

Intérêt. Immeuble urbain, hôtel ou maison. Habitat rural : bloc à terre, bloc en hauteur, à cour fermée, à cour ouverte. Dispersé ; regroupé en hameau, en village. Etc.

Noter la différence d’implantation d’après les plans connus : plan terrier, plan cadastral, différence d’assiette entre le permis de construire et la réalisation. Etc.

1 Information et visite.

Propriétaire.

Tel : 02.

Ouverture au public.

2 Toponymie.

La toponymie indique le nombre de bâtiments qui purent précéder l’actuel, sur le même site ou sur un site différent, peu éloigné.

3 Historique.

Propriétaires.

2 types de propriétaires :

- argenté. Le propriétaire bâtisseur élève un bâtiment selon ses besoins : celui-ci peut subsister en l’état.

- fat. Le propriétaire bâtisseur élève un bâtiment hors ses possibilités : celui-ci reste inachevé, très souvent voué à la destruction partielle ou complète.

Documents.

Avant 1400, les chartres pour les propriétaires de main morte, les seigneurs, etc.

Après 1400. Titre de propriété. Acte notarié, acte judiciaire, sous-seing privé. Contrôle acte, centième denier. Enregistrement et hypothèques de l’arrondissement où se trouve le bien.

Avant 1792. Actes de baptême, mariage et sépulture.

An 12-1840. 1930-1956. Matrice cadastrale Napoléon, puis rénovée, de la commune où se situe le bien.

Après 1946. Permis de construire.

Désignations.

Les titres de propriété.

Avant 1400. Les chartres. Cartulaires, chartres indépendantes.

Avant 1789. Série C : Aveux et dénombrements, les éventilements. Série B ; Permission de bâtir, modifier, détruire par le trésorier de France, vente judiciaire.

Depuis 1400. Les contrats notariés entre le propriétaire et l’exploitant ou le locataire.

Les marchés d’ouvrage entre le propriétaire, l’architecte et l’artisan, maçon, charpentier, etc.

Les inventaires notariés après décès.

Les états de lieux, notariés ou sous-seing privé.

Actes administratifs concernant le bien.

Chronologie.

Bâtiment homogène. Il y a nécessairement plusieurs campagnes de travaux, rapprochées l’une de l’autre.

Bâtiment composite. Il y a nécessairement plusieurs campagnes de travaux, éloignées l’une de l’autre.

Le nom du propriétaire, la désignation du bien et l’alignement de la voie permettent le plus souvent de dater l’immeuble avec une marge, terminus ad quo, terminus ad quem, réduite.

Dater le bâtiment est le moyen obligé non seulement pour le comprendre mais encore pour comprendre la date d’apparition du décor, de la technique de construction qu’emploie l’artisan pour ses autres constructions, etc.

Architecte.

Avant 1550, le maitre maçon est le plus souvent le maitre d’œuvre.

Après 1510, l’architecte ou le maçon peuvent jouer le rôle de maitre d’œuvre..

4 Description.

Maison de maître.

Extérieur.

Façade.

La façade comprend toujours l’entrée principale. Mur goutterot ou pignon.

Côtés.

Les côtés peuvent avoir des entrées secondaires ou de service.

Intérieur.

Cave.

Rez-de-chaussée.

Aire de circulation. Disposition des pièces en rapport avec ces aires : couloir perpendiculaire ou parallèle à la façade.

Situation de l’escalier d’accès aux autres niveaux, inférieur ou supérieur.

Étages.

Combles.

Charpente.

Noter le type de charpente :

A chevron portant ferme, avant 1640.

A panne, après 1630.

A la Philibert-Delorme, 1590-1650. Cette technique tombe alors en désuétude. Quelques exemples jusque vers 1815.

Cour du maître.

Bâtiments.

Communs.

Réserve du maitre pour son exploitation directe.

Logement de l’employé, des animaux.

Logement de la nourriture : grenier, glacière.

4 Protection.

Inscrit sur l’Inventaire des Monuments Historiques.

Classé Monument historique.

5 Souvenirs historiques.

Tout fait qui explique la manière de vivre et d’occuper l’immeuble.

6 Souvenirs littéraires et artistiques.

Personnes illustres. Souvenir culturel : livre, musique, cinéma, danse, etc.

7 Bibliographie. Textes manuscrits et imprimé.

Titre de propriété. Notarié, judiciaire. Cartulaire. Clergé régulier et séculier.

Inventaire après décès.

Procès-verbal d’état de lieu.

Bail.

Cadastre. Patentes.

 

Le plus souvent, ces 2 histoires prennent leur source dans les mêmes types de documents. D’où leur présentation commune.

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